DogDogDog explore les idées de préservation physique et de mortalité. Cette exposition utilise les processus de moulage et de réplication du plâtre comme moyen d'examiner les anxiétés entourant la temporalité, l'impermanence et la mort. Par le biais d'objets ready-made et de moulages en plâtre, l'œuvre met l'accent sur le potentiel infini des objets tangibles.
Présentés l'un à côté de l'autre, les readymades et les moulages soulignent la matérialité de chacun par contraste. Le processus de moulage blanchit les objets originaux, produisant des copies diluées dépourvues de vie. Les moulages en plâtre recontextualisent l'utilité originale du readymade. Ce qui était autrefois des pièces d'équipement utiles sont maintenant des objets d'art statiques.
Les moulages en plâtre sont un motif récurrent dans l'ensemble de ce corpus d'œuvres. Semblant figés dans le temps, les moulages sont la coquille obsédante d'un objet qui fut autrefois. Leur surface parfaite et immuable échappe au compte à rebours naturel du temps, survivant ainsi au corps humain. De multiples répliques font face à la singularité d'un corps charnu ; un rappel de la fin inévitable à laquelle on sera confronté.
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DogDogDog explores ideas of physical preservation and mortality. This exhibition employs plaster casting and replication processes as a way to examine anxieties surrounding temporality, impermanence, and death. Through readymade objects and plaster casts, the work emphasizes a potential infinite found in tangible objects.
Presented alongside one another, the readymades and casts emphasize each other's materiality through contrast. The casting process white-washes the original objects, producing diluted copies devoid of life. The plaster casts recontextualize the readymade’s original utility. What were once useful pieces of equipment are now static art objects.
Plaster casts are a recurring motif throughout this body of work. Seemingly frozen in time, the casts are a haunting shell of an object that once was. Their perfect, unchanging surface evades the natural countdown of time, consequently outlasting the human body. Multiple replicas confront the singularity of a fleshy body; a reminder of the inevitable ending one will face.